ALGER- Le Groupe SONATRACH a procédé, lundi à Alger, à la signature de trois contrats de mécénat en faveur des services du ministère de la Santé pour le financement de deux centres de radiothérapie dans les hôpitaux de Rouiba et de Beni Messous (Alger), ainsi que l’acquisition de dix (10) générateurs d’oxygène équipés pour le ministère de la Santé.
Signée par le SG de SONATRACH, Rachid Si Mohamed et le Directeur de l’hôpital Issad Hassani (Beni messous), Ahmed Boufassa, le premier contrat porte sur le financement par SONATRACH d’un centre de radiothérapie pour les cancéreux. M. Si Ahmed a signé un second contrat du même genre avec le Directeur de l’hôpital de Rouiba, Djamel Latrach.
La réception des deux centres est prévue au deuxième semestre de 2023 en vue de réduire la pression sur les autres centres de la région Centre.
La cérémonie qui s’est déroulée en présence du ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab et celui de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, a vu la signature d’un troisième contrat portant acquisition par Sonatrach de 10 générateurs d’oxygène équipés au profit de plusieurs hôpitaux du pays. La convention a été signée par le SG de SONATRACH et la directrice générale de la Pharmacie et des équipements médicaux, Pr. Wahiba Hadjoudj.
Intervenant à l’occasion, M. Arkab a fait savoir que cette initiative s’inscrivait dans le cadre du plan d’action du Gouvernement dans son volet relatif à la Santé, soulignant qu'”elle vise à améliorer la qualité des soins et de la prise en charge à travers le renforcement de l’offre en termes de traitement en vue de garantir des prestations de qualité tout en respectant la dignité du citoyen et des patients”.
“Les deux contrats de financement des centres de radiothérapie prévoient que SONATRACH prenne en charge la réalisation des infrastructures et l’équipement de deux accélérateurs outre les structures d’accueil des cancéreux” dans le cadre de la politique d’Etat pour la promotion et la généralisation du dépistage précoce du cancer et le soutien au réseau national des fichiers des maladies oncologiques, a expliqué M. Arkab. (APS)