Alger, le 11 février 2025,
Le Président Directeur Général du Groupe SONATRACH, M. Rachid HACHICHI, a participé, aujourd’hui, au Centre International des Conventions « Abdelatif Rahal » à Alger, aux travaux de la 4ème Réunion du Comité de pilotage du projet du gazoduc transsaharien TSGP, au sein d’une délégation conduite par le Ministre de l’Energie, des Mines et des Energies Renouvelables, M. Mohamed ARKAB et ce, dans le cadre de la réunion du Comité Tripartite qui comprend, outre M. Mohamed ARKAB, M. Ekperikpe EKPO, Ministre des Ressources Pétrolières du Nigeria, M. Sahabi OUMAROU, Ministre Nigérien du Pétrole, en présence du Colonel Maizama ABDOULAYE, Ministre des Ressources en Eau, de l’Assainissement et de l’Environnement du Niger.
La réunion du Comité Tripartite de Pilotage a été précédé, durant la matinée, par une réunion de la task force composée de SONATRACH (Algérie), NNPC (Nigéria) et SONIDEP (Niger) dont les conclusions ont été rapportées au Comité de Pilotage composé des Ministres suscitées, ainsi que des Présidents Directeurs Généraux des trois Sociétés. Ce comité de pilotage a adopté et validé le travail de la Task- Force technique composée des experts représentants des trois pays concernés par le Gazoduc Transsaharien (TSGP).
Cette réunion a été conclue par une cérémonie organisée au Centre International des Conventions pour la signature d’un contrat de mise à jour de l’étude de faisabilité entre les trois sociétés et le Bureau d’Etudes PENSPEN. Un accord de compensation des dépenses liées à cette étude a également été signé entre SONATRACH, NNPC et SONIDEP, en plus de la signature par ces sociétés d’un accord de Non- Divulgation.
A cette occasion, SONATRACH renouvèle son engagement à faire aboutir cet important projet, se basant sur son expérience avérée dans ce type de projets énergétiques à dimension continentale et stratégique qui offre des perspectives prometteuses pour le continent africain et renforce la coopération entre les pays traversés par ce Gazoduc.
Pour rappel, le gazoduc transsaharien permettra d’acheminer environ 20 à 30 milliards de mètres cubes de gaz destinés aux marchés internationaux, à partir du Nigeria et en passant par le Niger et l’Algérie. Ce projet bénéficie du soutien de l’Union Africaine et de la Banque Africaine de développement.